En quelques années, l’accès aux services de base publics et privés (banques, assurances, fournisseurs d’énergie, administration…) s’est digitalisé tandis que l’accès à l’emploi est de plus en plus synonyme de compétences numériques. De plus, la situation liée au COVID a évidemment accéléré fortement cette numérisation de nos vies de tous les jours.
Des avantages peuvent découler de ce changement de société, mais le risque d’aggraver les inégalités existe aussi, particulièrement pour les personnes déjà fragilisées socialement et économiquement. De plus en plus d’études montrent que cette fracture numérique est en réalité multiple (d’accès, de compétences mais aussi d’usage voire de sens…) et qu’elle a été largement sous-estimée étant donné que pas loin de la moitié des wallons y seraient confrontés de près ou de loin, de manière volontaire ou non.
L’objectif de cette campagne 2022 n’est pas de défendre un « retour en arrière » mais au contraire de mieux identifier ces nouvelles pratiques digitales dans leurs aspects positifs et négatifs ainsi que les aménagements et alternatives qu’elles nécessitent. Afin que cette numérisation ne s’effectue pas à n’importe quel prix et de manière aveugle au profit de quelques-uns mais qu’au contraire nous puissions collectivement lui mettre des limites quand c’est nécessaire et lui donner du sens.
Au travers des activités que nous vous proposons ci-dessous, le but est d’interroger de manière critique cette digitalisation dans différents domaines (travail social, emploi, écologie, contacts sociaux…), d’apporter de manière collective informations et accompagnement mais aussi de récolter et faire entendre vos avis, vos témoignages pour que cette numérisation fasse l’objet d’un vrai débat démocratique:
Après l’appel à candidatures lancé à l’automne dernier, 243 membres issus des quatre coins de Bruxelles et de Wallonie ont fait le pas de s’engager dans l’aventure mutualiste. Tous sont prêts à relever le défi de vous représenter, au sein de l’assemblée générale (AG) de la MC, et donc de se mobiliser, penser, décider et agir au mieux pour l’ensemble des membres de la MC !
La MC, un mouvement de citoyens:
Les élections mutualistes, c’est une occasion de faire vivre la démocratie représentative et participative. Peu d’entreprises ouvrent leurs organes de gestion et de décision à leurs propres clients, affiliés ou membres. La MC le fait pour répondre à une loi sur les mutualités. Mais surtout, car au-delà d’être un assureur social, elle veut être un mouvement de citoyens et un entrepreneur social… dont le projet et les grandes orientations sont définies et portées par et pour ses membres !
Découvrez comment voter jusqu’au 31 mars, les candidats et toutes les infos:
Bientôt la fin de l’hiver …. les beaux jours s’annoncent. Et peut-être la fin tant espérée de la pandémie. Le passage en code jaune qui devrait être annoncé lors du prochain Comité de Concertation (CODECO) devrait mettre fin au Covid Safe Ticket et permettre un retour « à la vie normale ». Pour ce printemps, nous vous avons préparé un programme varié, qui nous l’espérons répondra à vos attentes. Pour les séjours, nous sommes en pleine préparation. Nous pouvons déjà vous annoncer qu’un séjour est prévu du 6 au 9 mai en Forêt Noire. Un voyage sera également organisé en septembre.
Au plaisir de vous retrouver.
Fabienne Moisse
Découvrez le nouveau Temps des Découvertes en un seul clic ici !
Agenda des activités :
Mars 2022 :
Tous les mercredis : Liège – activité accroche informatique Dimanche 6 : Liège – Expo « Parures de fêtes à Liège. Splendeurs des tapisseries de Saumur » et visite des collégiales Saint-Jean-l’Evangéliste et Saint-Denis + repas en option Jeudi 17 : Ans – visite de l’expo « Picasso » + repas en option Vendredi 25 : Verviers – Expo « Zoos humains, l’invention du sauvage » et balade « Les Verviétoises dans l’histoire et dans les rues » + repas en option
Avril 2022 :
Tous les mercredis : Liège – activité accroche informatique Samedi 2 avril : Bruxelles – Expo « Before Time Began, Art aborigène d’Australie » et balade « Les dessous chics d’un quartier de bureaux » + repas en option Dimanche 10 avril : Liège – Concert de l’ACDM + expo guidée « I love Japan » + repas en option Dimanche 24 avril : Flémalle – Exposition Lascaux
Expériences au Préhistomuseum + repas en option
Le CIEP de Liège est très heureux de participer à l’organisation de cette première édition du Salon du livre engagé les 17, 18 et 19 mars 2022, le Foyer Culturel de Sprimont !
Fans de lecture, bénévoles, militants, personnes engagées de tous bords, amoureux des livres, citoyens, associations, voici un événement fait pour vous !
Ce sera l’occasion de découvrir des ouvrages, auteurs et maisons d’édition locaux et engagé-e-s pour un monde plus juste, durable et inclusif. De quoi satisfaire chaque lecteur intéressé par l’écologie, la lutte contre les inégalités, la citoyenneté active.
Stands de livres proposés à la vente, des rencontres d’auteurs, conférence, du théâtre, un film, atelier d’écriture et une exposition…
Des vidéos et des descriptions d’ouvrages accompagneront la page Facebook de l’événement, n’hésitez pas à venir la consulter régulièrement.
Plus que jamais suite à la crise « covid », la présence du numérique s’intensifie dans nos vies quotidiennes : travail, banques, écoles, loisirs, déplacements, achats, rencontres… Parfois pour le meilleur, parfois pour le pire, le numérique se développe en laissant pas mal de monde sur le côté.
Nous vous proposons de prendre le temps de revenir sur cette accélération numérique à travers :
Quelques grandes questions : de quoi s’agit-il ? D’où cela vient-il ? Comment en est-on arrivé là ? Qu’est-ce qu’un algorithme ? Quels sont les enjeux – financiers, économiques, politiques, écologiques – de cette nouvelle industrie ?
Un échange sur vos expériences concrètes : quand le numérique vous facilite-t-il ou vous complique-t-il la vie ? Quel usage en faire ? Avons-nous le choix, existe-t-il des alternatives ?
Cette animation se déroule par séances de 2 heures minimum ou par demi-journées ; elle est accessible et adaptable en fonction des publics et apporte de l’information en lien avec l’actualité et en se basant sur le débat et la participation.
Nous sommes à votre disposition pour venir dans vos groupes en fonction du temps dont vous disposez en nous déplaçant ou en vous accueillant dans nos locaux de Liège, Seraing, Huy ou Aywaille.
En septembre, la ministre Karine Lalieux avait dévoilé ses premières intentions pour la réforme des pensions. En ce début d’année, cette dernière est mise en discussion au Conseil des ministres.
Sur cette base, le MOC relève des changements positifs par rapport aux orientations prises par le gouvernement précédent et par son ministre des Pensions. Rétablir la confiance et la lisibilité des réformes plutôt que susciter des craintes pour l’avenir des pensions ainsi que le retour à la concertation sociale et à l’implication des organes consultatifs est une réorientation que nous soutenons absolument.
De plus, nous saluons la volonté de la ministre d’améliorer le taux de remplacement (notamment par une hausse du plafonnement salarial des pensions), de « moderniser » le système en prenant en compte des évolutions familiales et sociales(1), et de réduire les inégalités entre hommes et femmes. Reste que cette volonté doit se traduire dans des propositions ambitieuses qui permettent effectivement d’améliorer la vie des pensionné(e)s actuels et futurs.
Dans sa position adoptée en 2016, le MOC fait un grand nombre de propositions pour une réforme globale de moyen terme, y compris concernant le financement : des réformes fiscales pour plus de justice contributive, des réductions de cotisations patronales plus ciblées et moins coûteuses, et un développement économique orienté vers le bien-être et la transition écologique. Certaines propositions ministériellesvont dans le bon sens même si elles sont insuffisantes. C’est le cas de l’assouplissement des conditions d’accès à la pension anticipée, d’une meilleure prise en compte des emplois à temps partiel et des carrières courtes pour la pension minimum, de l’intention de prendre en compte certains types d’emplois qui aujourd’hui ne permettent pas de se constituer des droits à une pension et de l’augmentation de la durée du droit à l’allocation de transition pour les jeunes veuf(ve)s et la garantie d’un minimum d’allocation.
Toutefois, des éléments fondamentaux n’ont pas été évoqués : l’âge légal de la retraite qui devrait rester à 65 ans, celle de la durée de carrière complète qui devrait être réduite à 40 années, ou encore la mise en place de critères de pénibilités afin de permettre de prendre sa pension plus tôt et d’avoir accès à certains dispositifs de fin de carrière. On sait à cet égard que la pénibilité d’emplois à prédominance féminine n’est souvent pas reconnue. L’allongement des carrières et l’abandon de la question des pénibilités auraient pour conséquence d’accélérer l’augmentation déjà préoccupante du nombre de personnes en invalidité, alors que le gouvernement vient de décider de mesures supplémentaires touchant les personnes en invalidité dans le cadre du budget 2022.
Le MOC tient enfin à souligner les dangers de certaines propositions annoncées :
– La généralisation du 2e pilier (pension complémentaire) à minimum 3% de prime sur le salaire brut tel que prévu par l’accord de gouvernement, ne peut se faire qu’au détriment du financement du 1er pilier en raison du manque à gagner résultant des avantages fiscaux et moindres cotisations accordés(2). Or, la priorité absolue doit être donnée au relèvement de la pension de sécurité sociale, car c’est le système le plus solidaire, transparent et garantissant à terme des pensions décentes. Par ailleurs, cet objectif contraste avec la limitation à 0,4% de l’augmentation des salaires sur deux ans par le gouvernement ;
– La condition de 10 années de travail effectif pour accéder à la pension minimum remet implicitement en cause le principe des périodes assimilées(3) (de chômage, d’invalidité, de crédit-temps, de prépension (RCC) par exemple) ;
– La pension à temps partiel ne permet plus de se constituer des droits à la pension contrairement à d’autres modalités de fin de carrière(4) (qui ne seront toutefois pas remises en cause suivant l’accord de gouvernement).
Il faut rappeler l’objectif premier du système des pensions : préserver la santé des travailleurs et travailleuses plus âgé·es et assurer une fin de vie digne lorsqu’on ne travaille plus. Il ne peut être le prolongement des politiques d’emploi. La réforme des pensions est un chantier à reprendre résolument pour améliorer le système et l’adapter à diverses évolutions et pour ne pas laisser les assurés sociaux dans l’expectative quant à la viabilité financière du système et à l’avenir de leurs droits. Elle mérite bien évidemment un large débat démocratique.
1 En ce qui concerne la pension de ménage, de divorcé et de survie (droits dérivés) et notamment l’enjeu de l’individualisation des droits.
2 Selon le Bureau du Plan, le manque à gagner fiscal s’élève à 3,5 milliards. La Cour des comptes a quant à elle chiffré le manque à gagner en cotisations sociales à 866,5 millions (régimes des salariés et des indépendants). 3 Censées valoir autant pour la pension qu’une période prestée 4 Le crédit-temps à temps partiel et les emplois de fin de carrière par exemple qui permettent aussi de continuer à travailler à temps partiel.
Participation citoyenne, institutions belges et européennes, transition écologique, migrations, esprit critique, enseignement, fiscalité… Nous abordons avec les groupes de nombreux sujets dans une visée de citoyenneté active et critique.
Toutes nos animations sont entièrement gratuites et adaptables sur demande ; elles se veulent participatives et accessibles au plus grand nombre (pas de prérequis). Nous vous accueillons dans nos locaux de Liège, Verviers, Huy, Seraing ou Aywaille et nous nous déplaçons également dans vos groupes.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter nos animateurs (voir coordonnées dans le catalogue ou sur les pages « contact ») ou à voir notre site. Nous nous ferons un plaisir de vous renseigner.
Dimanche 23 : Liège – Trinkhall – repas (en option) et visite du musée et des expositions en cours Samedi 29 : Mons – Expo « Fernando Botero, au-delà des formes » + balade « Cœur historique de Mons »
Février 2022
Mardi 1er : Bruxelles – Festival Europalia – expo « Vers la Modernité » et expo « L’Orient Express » Mercredi 9 : Flémalle – Souper-conférence « La stupéfiante histoire de la pomme de terre » Dimanche 13 : Liège – Concert apéritif + expo immersive « Inside Magritte »
A venir
Flémalle – Lascaux Expériences accompagné d’un guide archéologue
Informations pratiques :
Toutes les détails se trouvent dans le pdf téléchargeable ici : Temps des Découvertes
Pour vos inscriptions et éventuelles questions :loisirs@mocliege.org ou 0498/17.18.52 (mardi et jeudi) Pour vos paiements : un seul compte : compte BE90 7785 9890 4832
Janvier, cela fait 6 mois que des citoyens solidaires sont au côtés des victimes de la catastrophe des inondations.
Venant de tout le pays, au-delà de toute frontière linguistique, de classe sociale ou autre, il est difficile d’imaginer quelle serait la situation sans leurs actions. Centres de dons pour fournir des aides alimentaires, des meubles, des systèmes de chauffage, des jeux, …; aides pour casser du plâtre et autre coup de mains; opérations pour la Saint-Nicolas et les fêtes de fin d’année; écoute et soutien, ils font ce qu’ils peuvent et le font bien.
Si vous souhaitez les soutenir, voici une liste non exhaustive des initiatives solidaires, de Liège à Verviers, de Pepinster à Chaudfontaine, en passant par Ottignies, il y a sûrement une initiative près de chez vous ! Ils sont eux aussi parfois fatigués et découragés, c’est pourquoi, au-delà des dons, il ne faut pas hésiter à vous proposer aussi comme citoyens solidaires/bénévoles pour les rejoindre dans leurs actions.
Ce jeudi 16 décembre à Liège, nous avons mené une action sur la passerelle Saucy avec le groupe WSM de Liège rassemblant la CSC, le CIEP, la Mutualité Chrétienne et les Equipes Populaires de Liège.
Voir les échos dans les médias:
Déjà plus de 6500 morts chez les travailleurs migrants sur les chantiers des stades, souvent dissimulés sous des « causes naturelles »… Et les familles des travailleurs ?
Des conditions de vie difficiles pour les travailleurs : salaires bas, températures élevées, dortoirs insalubres, confiscation du passeport…Et les droits humains ?
Depuis 2017, grâce au travail d’ONGs et de syndicats, des avancées considérables ont été obtenues : tribunaux du travail, salaire minimum, liberté de mouvement pour les travailleurs·euses, syndicats…Mais elles restent fragiles et contournées par des employeurs peu scrupuleux.
Nous avons toutes et tous un devoir de vigilance : la Coupe du monde est dans un an et ces violations doivent cesser !
WSM-Liège et ses partenaires s’engagent : suivez notre campagne 2022.
Intéressé·es ? Suivez-nous en ligne : www.wsm.be – Facebook : WSM Belgique & MOCliège
Vous souhaitez en parlez dans vos groupes? contactez nous, nous vous proposons une animation pour mieux connaître ce sujet d’actualité et en débattre.
C’est avec regret que vous nous annonçons le report de l’événement prévu ce samedi 2 octobre.
Une fois de plus, le covid et ses conséquences auront eu raison de nous, mais nous espérons qu’il s’agira de la dernière ! Face à une recrudescence de cas en province de Liège et des mesures qui l’accompagnent, nous avons décidé de reporter les 20 ans du Forum social du Pays de Herve.
Nous reviendrons vers vous en 2022 avec un programme enrichi et des perspectives d’avenir pour la dynamique des forums sociaux mondiaux à réfléchir ensemble !
Suite aux inondations qui ont touché l’arrondissement verviétois, le CRVI (Centre Régional de Verviers pour l’Intégration) propose de nouvelles permanences visant à soutenir la population (introduction d’un dossier au fonds des calamités, suivi du dossier,…).
Ces permanences sont organisées sur quatre matinées par semaine dans les locaux du CRVI (rue de Rome 17, 4800 Verviers).
Le MOC exhorte l’ensemble du gouvernement à trouver une solution rapide et négociée avec les grévistes de la faim. C’est la responsabilité de tous de mettre fin aux jeux cyniques et d’éviter un drame.
Chaque jour qui passe nous rapproche d’une issue tragique pour les personnes sans papier en grève de la faim à l’Église du Béguinage, à l’ULB et à la VUB. Ils et elles résistent encore par la force de leur courage et de leur dignité. Mais nous savons tous que les heures sont à présent comptées.
Depuis des années le MOC et ses organisations sensibilisent, mobilisent et interpellent les responsables politiques pour qu’une solution humaine et juste soit trouvée, avec des critères objectifs et permanents inscrits dans la loi pour que le dossier de chaque personne soit traité équitablement. Depuis des mois, nous sommes présents aux côtés des grévistes, avec de nombreuses associations de la société civile, pour que le Secrétaire d’État à l’Asile et la Migration, Sammy Mahdi, réponde à leur demande légitime. Depuis des jours, nous sommes toutes et tous accrochés à l’espoir que Sammy Mahdi apporte des solutions. De leur côté, les grévistes ont fait des propositions réalistes.
Aujourd’hui, force est de constater qu’aucune proposition de la Vivaldi ne prend cette direction. Nous sommes indignés et lassés d’assister, jour après jour, à l’absence de dialogue de la part de nos autorités et de voir ces jeux politiques qui se solderont de toute façon par la honte des femmes et des hommes politiques qui ont refusé de bouger en proposant des solutions qui soient acceptables au regard de valeurs de solidarité, de justice et d’équité et au regard de la Déclaration des droits humains de 1948. Ce sont ces mêmes jeux, sur le dos de vies humaines, qui font progresser l’extrême droite et ses idées.
Aucun gréviste de la faim ne s’engage dans un tel combat s’il n’a pas été poussé à bout par un gouvernement incapable de faire évoluer les propositions. Car rappelons-le, la problématique des personnes sans papier n’a pas démarré il y a 60 jours quand ces femmes et ces hommes ont commencé une grève de la faim, ni même lors les premières occupations au Béguinage et sur les sites universitaires de l’ULB et de la VUB. Le problème est structurel et connu depuis plusieurs années et il a pris une tournure particulièrement aiguë lorsque la pandémie a éclaté. Cela fait donc plus d’un an que nous attendons de la part du gouvernement qu’il débloque la situation. Il est inacceptable de rester coincé dans une telle impasse alors qu’il y a une urgence humanitaire extrême et que nos autorités ont eu le temps de s’emparer du dossier.
C’est pourquoi le MOC exhorte l’ensemble du gouvernement à trouver une solution rapide et négociée avec les grévistes et à arrêter de se renvoyer la responsabilité comme c’est le cas aujourd’hui. Les calculs politiciens à court terme ne pèseront pas bien lourd face au jugement de l’Histoire.
Dans le cadre de ses missions d’éducation permanente, le MOC Liège-Verviers recrute, pour engagement à partir du 1octobre 2021 :
Un(e) animateur(trice) CDI – temps plein (36 H/semaine) – Barême de la CP 329 – poste APE
FONCTION
Le CIEP Liège est le service d’éducation permanente du MOC. Il développe notamment à partir de groupes locaux des analyses et actions concrètes en lien direct avec la réalité locale. Il sensibilise, réunit et mobilise des citoyens autour d’enjeux politiques, économiques, sociaux et culturels jugés prioritaires par le Mouvement.
Animation de groupes réguliers sur le thème des enjeux d’une transition économique, écologique et juste pour l’ensemble des citoyens :
Mettre en place la communication et les contacts nécessaires afin de constituer plusieurs groupes
Dégager une préoccupation commune au groupe, accompagner les participants dans son analyse des causes et des pistes de solutions et d’actions.
Concevoir, réaliser et animer des outils pédagogiques pour soutenir et alimenter les échanges et soutenir la progression du groupe.
Développer un réseau de contacts locaux en appui à l’action.
Animation d’un groupe de professionnels et militants du réseau MOC sur le thème de la coopération au développement.
Être le relais local de WSM, l’ONG du MOC, et développer des activités de sensibilisation sur les thèmes liés aux priorités de l’ONG.
Elaboration d’une communication « large public » régulière au départ des projets menés.
Rédiger des rapports, des synthèses et des analyses sur base d’actions mises en place et de témoignages rencontrés dans les groupe
PROFIL – CONDITIONS
– Être en capacité de travailler dans différents contextes avec des publics variés, notamment en situation de précarité, issu de migrations et dont le français n’est pas la langue maternelle.
Sensibilité/Intérêt pour l’actualité politique, économique et sociale notamment à l’échelle communale.
Sensibilité/Intérêt pour les thèmes liés à la coopération internationale.
Capacités relationnelles pour développer des contacts locaux ponctuels et réguliers avec le monde associatif ainsi qu’avec les autres organisations MOC
Aptitudes au travail en équipe
Faire preuve d’autonomie, de créativité et d’esprit d’initiatives
Être disponible à une répartition du temps de travail comprenant régulièrement des soirées.
Adhérer aux valeurs du Mouvement Ouvrier Chrétien.
Etre en possession d’un passeport APE, valide pour le secteur non marchand, d’un permis de conduire de catégorie B et d’un véhicule personnel
LIEU DE TRAVAIL
Siège social de l’asbl CIEP à Liège
Les candidatures (lettre d’accompagnement, C.V. et copie du passeport APE) sont à adresser exclusivement par mail à Wilfried Schleck, directeur (schleck@mocliege.org) avant le 15 septembre 2021.
Du 8 au 14 septembre 2021 (7 jours/6 nuits en D.P.)
La Savoie et la Haute-Savoie regorgent de trésors patrimoniaux et culturels : Annecy, la Venise savoyarde ; l’Abbaye de Hautecombe, nécropole des princes de la Maison de Savoie ; Chambery, ancienne capitale du Duché de Savoie ; Aix-les-Bains, surnommé la Riviera des Alpes et Chamonix, capitale mondiale de l’alpinisme.
D’autres lieux magiques sont également programmés : le Lac du Bourget, un des plus grands lacs français ; le Mont Revard, dominant Aix-les-Bains ; le col de la Forclaz surplombant le lac d’Annecy ; l’Aiguille du midi et ses incroyables vues.
Retrouvez le programme précis (ici pour le pdf) et le formulaire d’inscription au voyage ici-bas.
Programmation :
Mercredi 8 : Belgique-Dole
Départ matinal de Huy, Seraing et Liège. Trajet vers Dole en car par les autoroutes. Arrêts en cours de route. Arrivée dans l’après-midi à Dole et visite guidée de la ville. Installation à l’hôtel Campanile de Dôle et repas.
Jeudi 9 : Dole – Arc et Senans – Genève – Annecy
Départ matinal vers Arc et Senans et visite des Salines Royales (1h00).
Ancienne manufacture de sel du 18ème siècle, inscrite sur la Liste du patrimoine mondial par l’UNESCO, la Saline royale est un fleuron de l’architecture industrielle. Autour d’une vaste cour, les différents bâtiments sont répartis dans un hémicycle d’une remarquable unité. Temps libre pour la découverte du site et du festival des jardins.
Après la visite, nous reprendrons la route en direction de Genève (Suisse). Dans l’après-midi, découverte guidée pédestre des sites incontournables de la ville de Genève et ensuite visite en autocar de la ville internationale.
En fin d’après-midi, nous partirons en direction d’Annecy (45 km). Installation, repas et logement au Best Western d’Annecy.
La matinée sera consacrée à la visite pédestre du Vieil Annecy. La vieille ville, appelée aussi la Venise des Alpes, en raison de ses canaux, a été fondée au Moyen-Age. Notre guide nous conduira à travers les quais, les ponts, les ruelles anciennes, … tout en nous racontant l’histoire mouvementée de la ville qui s’est construite de part et d’autre du Thiou. Repas de midi libre.
Début d’après-midi, nous prendrons la direction d’Aix-les-Bains.
Ensuite, embarquement pour une croisière commentée sur le lac du Bourget et débarquement pour la visite de l’abbaye de Hautecombe. Fondée au 12ème siècle, elle est le lieu de sépulture de la Maison de Savoie. 42 princes et princesses du duché de Savoie y reposent, ainsi que le dernier roi d’Italie Umberto II (1904-1983).
Après la visite, retour vers Annecy.
Repas régional dans un restaurant du centre-ville.
Samedi 11 : Chambery – Aix-les-Bains – Mont Revard
La matinée sera consacrée à la découverte de Chambery. L’ancienne capitale de Savoie nous révélera lors d’une balade guidée ses plus beaux atours. Notre guide nous emmènera au fil des traboules, des places, des cours intérieures en nous racontant l’histoire et les anecdotes de la cité et des Ducs de Savoie. Nous pourrons aussi admirer la Chapelle du Château. Temps libre pour le repas.
L’après-midi, découverte panoramique d’Aix-les-Bains, ensuite ascension (en car) au Mont Revard et découverte de l’exceptionnel panorama. Situé dans le massif des Bauges, le belvédère offre une vue magnifique sur le lac du Bourget, Aix-les-Bains et le massif du Mont-Blanc. Sur le chemin du retour visite d’une fromagerie coopérative et dégustation de fromages et du vin local.
Dimanche 12 : Annecy – col de la Forclaz – Chamonix
Nous débuterons la journée par un tour guidé, en autocar, autour du lac d’Annecy. Notre circuit nous amènera à 1157 m d’altitude, au col de la Forclaz qui offre une vue panoramique à couper le souffle. L’après-midi sera dédié à Chamonix, dominé par le Mont Blanc. La ville est une destination privilégiée des touristes et des amoureux de la montagne. Les premiers visiteurs arrivèrent au 18ème siècle, des auberges ouvrirent et la ville commença à se parer d’un patrimoine entre tradition et modernité. Le résultat : un désordre urbanistique ! En option, nous vous proposons la montée en téléphérique à 3842 mètres d’altitude. L’Aiguille du Midi, c’est le rêve, le lieu à voir au moins une fois dans sa vie !
Lundi 13 : Annecy – Epinal
Départ matinal d’Annecy en direction d’Epinal (340 km). Arrêts en cours de route.
Fin d’après-midi, visite guidée pour découvrir la vieille ville d’Epinal et ses monuments : la basilique Saint-Maurice (11ème – 13ème siècle), la place des Vosges, la maison du Bailli, les vestiges des murailles de l’enceinte fortifiée médiévale, le quartier du chapitre et le musée historique et archéologique de la ville…
Installation à l’hôtel Mercure d’Epinal et repas.
Mardi 14 : Epinal – Toul – Belgique
Départ matinal d’Epinal en direction de la Belgique (355 km). Dans la matinée, découverte de Toul et de sa cathédrale St-Etienne qui fête ses 800 ans cette année.
Repas régional à Toul. Continuation vers nos lieux de retour en Belgique(300 km).
Inscription :
Participation aux frais : 925 €/personne
Inclus : Les transports en autocar, les entrées prévues au programme, les services de guides locaux suivant programme, l’accompagnement Loisirs et Vacances, le logement en chambre double, la demi-pension du jour 1 jusqu’au repas de midi du dernier jour.
Non inclus : les boissons, les entrées non prévues au programme, les dépenses personnelles, le supplément single (250 €), l’ascenseur pour l’Aiguille du Midi, l’assurance annulation.
Inscription souhaitée pour le 20/07. Nombre de participants limité.
A renvoyer au CIEP Culture – Rue St-Gilles 29/1 – 4000 Liège ou moisse@mocliege.org
Covid Safe
Nous mettons tout en œuvre pour voyager en toute sécurité. Quelques règles à respecter :
se désinfecter les mains avant de monter à bord, garder ses distances par bulle, garder sa place durant le voyage, l’autocar est désinfecté et aéré pendant les arrêts, les gestes barrières restent d’application.
L’actualité COVID oblige, l’information a manqué de passer inaperçue. C’est un habitant du quartier qui nous a fait parvenir un toute‐boites déposé par G4S.
Pour bien comprendre, intéressons-nous d’abord à l’entreprise. Si vous ne la connaissez pas, voici un extrait de la présentation que vous trouverez sur son site internet : G4S est le leader mondial de la sécurité intégrée, spécialisé dans la fourniture de services et de solutions de sécurité. Sa mission est de créer une valeur matérielle et durable pour ses clients et ses actionnaires en étant le fournisseur de choix sur tous ses marchés. En résumé, il s’agit donc du modèle classique d’une multinationale positionnée sur le marché de la sécurité avec une recherche de profit pour faire plaisir à ses actionnaires. A notre grande surprise, nous découvrons sur ce même site la proposition d’un service « care » (protection en référence à sûreté ?) et justice (en référence à justice privée ?) pour des personnes en situation de grande précarité et fragilité. Ainsi, la société annonce être aussi compétente pour l’accueil des demandeurs d’asile ou des sans-abris. Un enjeu qu’elle juge primordial aujourd’hui. Nous apprenons ainsi qu’elle est déjà partenaire des autorités belges afin d’offrir des solutions durables, qualitatives et efficaces. G4S affirme déjà accueillir des personnes et les guider activement vers un retour à l’autonomie dans plusieurs villes belges au départ de domaines tels que l’éducation, l’emploi, la santé, etc. Nous n’apprendrons pas plus sur ce volet d’activités sur le site internet.
Nous découvrons par la suite que l’autorité publique partenaire s’appelle FEDASIL (Agence fédérale pour l’accueil des demandeurs d’asile) gestionnaire du réseau d’accueil qui organise directement une partie des places d’accueil (les centres fédéraux ouverts) et confie également, via des conventions, l’organisation de l’accueil à des tiers : la Croix‐Rouge, les CPAS, Caritas International, …
Et comme FEDASIL a temporairement besoin de places supplémentaires, le fédéral a lancé un appel d’offre. C’est G4S qui a emporté ce « marché public des demandeurs d’asile ». L’accord a été signé par le gouvernement fédéral en 2020 et G4S occupe donc temporairement les bâtiments de l’ancienne clinique St Joseph pour la création d’un centre d’accueil ouvert pouvant recevoir jusque 500 personnes pour une durée de 12 à 18 mois.
Tout cela peut paraître banal aux yeux de certains : il y avait urgence et il n’y avait pas d’autres choix. En tant que MOC, nous ne pouvons pas accepter ce choix. Bien sûr qu’il faut organiser un accueil qualitatif et humain et répondre aux besoins. Ce qui nous choque, c’est la privatisation de l’accueil d’êtres humains marqués par leurs parcours de vie dramatiques. Dans les situations concernées, fuir son pays n’est jamais un choix anodin ou encore synonyme de départ en vacances. Demander l’asile en Europe ou ailleurs, c’est demander une protection pour des questions humanitaires, politiques, médicales, économiques, …
C’est donc G4S qui assure un service de « protection et de justice » sur le site de l’ancienne clinique St Joseph dans un centre dont la direction échappe aux pouvoirs publics puisque ce poste est confié à une personne mandatée par la multinationale. Ce que nous savons, c’est que l’accord prévoit que G4S devrait respecter les mêmes critères de qualité que FEDASIL et la Croix Rouge. Nous n’en saurons pas plus et nous ne pouvons que regretter que ces choix politiques ne semblent même pas faire l’objet d’un débat public.
Enfin, aucune cause ne semble échapper aux appétits de profit de certains. C’est déjà le cas pour bon nombre de services aux personnes comme l’exemple flagrant des maisons de repos. Chaque fois que, faute de moyens, le service public est défaillant et que le monde associatif n’est pas en capacité de répondre, c’est le secteur privé qui s’enfonce dans la moindre brèche ouverte alors qu’il s’agit d’un univers différent avec des règles qui lui sont propres. Ceci avec les impôts des citoyens, et dans ce cas précis, pour contribuer à l’enrichissement des actionnaires de G4S.
En conclusion, nous avons du mal à percevoir la moindre éthique ou le moindre scrupule à faire de l’argent avec les situations délicates et difficiles vécues par les citoyens les plus précaires de notre société. Et nous avons autant de mal à comprendre comment de telles problématiques peuvent atterrir dans un partenariat public‐privé.
Crise politique à Verviers : Et les citoyens dans tout cela ? 7 juin 2021
Depuis le dépôt en juin 2020 d’une motion de méfiance contre le président socialiste du CPAS, Verviers est en crise. Cette motion a déclenché la fameuse « saga verviétoise » que nous connaissons malheureusement trop bien. L’actualité politique a depuis été rythmée par une scission interne du PS local, l’éjection de la bourgmestre socialiste, la mise en place d’une nouvelle majorité balayée par le Conseil d’État en octobre, la paralysie complète des négociations entre les partis et depuis un nouveau bras de fer entre personnalités pour briguer le poste de bourgmestre et ceci en total irrespect des résultats démocratiques issus des urnes. Aux dernières nouvelles, une nouvelle coalition (PS-MR-NV-CDH) serait en gestation… Cette « bonne nouvelle » ne peut effacer les trop nombreux mois de paralysie complète de notre démocratie locale.
En tant que société civile, le MOC Liège-Verviers estime que le jeu a assez duré. Il existe des lois et celles-ci doivent être respectées. Le Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation (CDLD) ne peut être impunément détourné à des fins politiques. Plus grave encore, notre organisation se demande si l’intérêt des citoyens verviétois est toujours au cœur des préoccupations des élus communaux et des partis. Notre démocratie locale semble dorénavant davantage ressembler à un lieu où prédomine la particratie, les intérêts personnels, les égos, les guerres de clans et la recherche de mandats ou postes rémunérés.
En plus de ternir l’image de Verviers, cette crise ne fait qu’agrandir le fossé entre les citoyens et le monde politique. Fort de notre expérience en éducation permanente, nous nous demandons s’il sera désormais possible de réconcilier les citoyens à la vie politique face à de tels évènements.
Le MOC Liège-Verviers réclame le respect des lois et la fin de cette saga indigne d’une ville de 55.000 habitants qui est, rappelons-le, le chef-lieu de son arrondissement. Verviers aspire à mieux alors que la réalité du terrain est préoccupante avec un taux de chômage administratif de 22,3% (13,1% en Wallonie) et un revenu moyen par habitant de 14.535 euros (17.672 euros en Wallonie).
Notre ville de Verviers est à un moment clé de son histoire et est à la recherche d’un second souffle. Nous en appelons à la responsabilité des élus communaux toujours en place. Le développement économique et l’emploi, les politiques sociales et culturelles, l’insertion et la bonne gouvernance devraient être au cœur des préoccupations de nos mandataires. De nombreux élus semblent oublier l’importance de cette relance urgente et de leur engagement politique envers les citoyens verviétois…
En tant que partenaire, la Fédération du MOC Liège avait soutenu l’action du collectif de soutien des sans-papiers liégeois au moment des élections 2019. Nos organisations avaient signé à cette époque une pétition qui proposait de redéfinir le cadre de l’accueil de migrants et plus particulièrement la régularisation d’une situation d’indifférence que subissent les 150.000 sans-papiers qui séjournent souvent de notre pays depuis de nombreuses années.
Souvenons-nous aussi qu’à l’époque, le rouleau compresseur du gouvernement Michel était passé par-là, réduisant ainsi des personnes en situation irrégulière et précaire à des profiteurs et /ou des criminels potentiels. Malgré cette ambiance crispante, les représentants des différents partis démocratiques de notre région avaient accepté de s’asseoir autour d’une table pour échanger, pour comprendre ou approfondir les enjeux ou encore s’engager politiquement sur la question.
Un espoir bien légitime était présent dans nos associations et organisations lors de la constitution de la Vivaldi. Il s’est vite transformé en coup de massue vu que la régularisation et la notion même de sans-papier est tout à fait absent du l’accord gouvernemental conclu. Vouloir faire porter la seule responsabilité de cette disparition une fois encore sur la communauté flamande et sur un seul secrétaire d’Etat mérite à nos yeux davantage de nuances.
Nous sollicitons aujourd’hui votre attention sur une nouvelle pétition « We are Belgium too » à l’initiative de la Coordination des Sans-Papiers de Belgique et de Sans-Papiers TV. Elle est soutenue par un très large panel d’associations, d’organisations et de collectifs dont nos organisations font partie.
Si les souvenirs s’envolent, qu’en est-il des promesses ? Les sujets comme la régularisation des sans-papiers ou encore l’immigration ne sont pas devenus davantage glamour dans l’espace public au cours des dernières années. Ils nous paraissaient une fois encore relégués dans des cercles confidentiels par ne pas éclabousser là il ne faut pas et ne semblent même plus pouvoir faire l’objet d’un débat de fond constructif et ouvert.
Pour nous, ce courrier est un premier pas pour rappeler à un bon nombre d’entre vous les promesses et de vous inviter à signer cette pétition. Si ce n’est pas encore fait, nous osons en effet espérer retrouver votre engagement citoyen sur la plateforme « wearebelgiumtoo.be ». Un deuxième pas serait d’oser sortir ces dossiers oubliés de leurs tiroirs et de relancer et soutenir le débat public.
Le CIEP culture et le CIEP de Liège-Verviers sont heureux de vous inviter à leur cycle de visioconférences sur l’histoire de la Belgique au 19e siècle. Parce que c’est notre histoire !
La dernière visioconférence de ce cycle est consacrée à la grande vague de grèves et la naissance du Parti Ouvrier Belge en 1886.
Au cours cette visioconférence, nous aurons le plaisir d’accueillir René Leboutte, historien et professeur émérite de l’Université du Luxembourg.
Des appréhensions pour vous connecter ? N’hésitez pas à nous contacter par mail ou par téléphone. Ci-dessous, vous retrouverez un mode d’emploi pour installer Zoom en quelques secondes.
Comment y participer ?
C’est très simple et gratuit. Vous pouvez la suivre depuis chez vous en vous connectant avec votre ordinateur, votre tablette ou votre smartphone sur l’application ZOOM qui se trouve sur internet.
Vous avez déjà l’application ZOOM installé sur votre ordinateur/tablette/smartphone :
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Cliquez sur le lien ZOOM pour suivre la conférence.
L’application ZOOM se lancera automatiquement sur votre ordinateur et vous pourrez rejoindre la salle d’attente de la conférence en ligne (comme chez le médecin).
Une fois accepté dans le salon virtuel par l’administrateur, vous pourrez suivre la conférence en direct.
Vous n’avez pas l’application ZOOM installé sur votre ordinateur/tablette/smartphone :
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Votre navigateur Web téléchargera automatiquement l’application gratuite ZOOM. Vous n’avez plus qu’à appuyer sur l’application qui apparait en bas à gauche de votre écran. Cela lance l’installation du programme en quelques secondes.
Une fois l’installation terminée, il vous suffit d’appuyer sur « Launch Meeting » (en français : « Lancer la réunion »).
Vous rejoindrez ainsi la salle d’attente de la conférence en ligne (comme chez le médecin).
Une fois accepté dans le salon virtuel par l’administrateur, vous pourrez suivre la conférence en direct.
Attention :
Afin de faciliter le déroulement de la conférence et l’intervention des orateurs, nous vous demandons de :
Coupez votre micro et votre caméra en entrant dans le salon virtuel (lieu ou se déroule la conférence en ligne). Si vous avez une difficulté à couper votre micro, l’animateur vous aidera à le faire.
Poser vos questions par écrit lors de la session de questions via l’espace de discussion qui s’ouvre en cliquant sur l’onglet « Converser ». Votre question sera lue et relayé par l’animateur vers les orateurs
Vous souhaitez recevoir une aide supplémentaire : contactez-nous avant la conférence par mail ou par téléphone. Nous vous aiderons à distance (Benoît Leysten : 0484/30 99 12 – leysten@mocliege.org).