Category Archive: Non classé

  1. RWDH | Les expulsions : un échec pour la société

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    Une bombe à retardement qu’il est possible de désamorcer !

    « C’est peu dire que la crise sanitaire et le confinement ont projeté́ une lumière crue sur les inégalités sociales et les souffrances au quotidien d’une partie de la population. Alors qu’il fallait rester chez soi, il a bien fallu songer – un peu – à celles et ceux privé.e.s de toit ou en passe de le perdre ».

    Le MOC soutient l’initiative du Rassemblement Wallon pour le Droit à l’Habitat et co-signe son communiqué commun.

  2. CSC Seniors | Des témoignages essentiels pour relayer la parole des ainés

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    Découvrez la brochure des CSC Seniors « Le chemin de notre santé » en ligne – ICI.

    « Cette année 2020 a été surprenante, difficile et longue pour beaucoup d’entre nous. L’épidémie de Covid-19 nous pousse chaque jour à nous ré-inventer et à voir les choses différemment. Pour les seniors, c’est une période particulièrement éprouvante. »

    Suite à l’annulation de l’Université de Printemps des FEC seniors en 2020 pour cause de Covid-19, les membres du Groupe de Travail Unifor vous livre cette brochure qui est le fruit de témoignages d’ainés et de réflexions sur le thème de « la santé des Seniors ».

    Découvrez cette brochure des CSC Seniors « Le chemin de notre santé » en ligne – ICI. Bonne lecture!

    Les CSC Seniors

    En savoir plus sur les CSC Seniors – ICI.

     

     

     

  3. VisioConférence/débat « Quel avenir pour nos pensions ? » vendredi 18 décembre 10H30

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    Vendredi 18 décembre 2020 de 10h30 à 12h30

    Le CIEP vous invite à une rencontre avec Quentin Detienne (ULiège) et Philippe Deceukelier (Senior CSC) pour comprendre les enjeux des dernières réformes du système de pension de retraite en Belgique.

    Nous reviendrons rapidement sur les bases du système de pension en Belgique afin de mieux comprendre son fonctionnement, en prenant en compte ses dernières évolutions.
    Nous envisagerons ensuite l’avenir de notre système de pension à moyen terme, avec 2030 dans le viseur.

    Par ailleurs, nous évoquerons les luttes politiques et syndicales nécessaires au passage de la pension à 1450 euro net.

    Enfin, nous échangerons avec les interlocuteurs/trices sur le vécu des uns et des autres pour mieux se représenter la vie d’un ou d’une retraité(e) en 2020. Cet échange aura pour vocation de dresser l’inventaire des combats à mener pour une pension plus juste et solidaire.

    Rejoignez cette rencontre via le lien suivant : https://us02web.zoom.us/j/86559714349?pwd=ZTlsTHpWNHRoTStna2ExVGpMUTVQQT09

    Comment y participer ?

    C’est très simple et gratuit pour vous. Vous pouvez la suivre depuis chez vous en vous connectant avec votre ordinateur, votre tablette ou votre smartphone sur l’application ZOOM qui se trouve sur internet.

    Vous avez déjà l’application ZOOM installé sur votre ordinateur/tablette/smartphone :

    Le jour de la conférence :

    • Cliquez sur le lien ZOOM pour suivre la conférence.
    • L’application ZOOM se lancera automatiquement sur votre ordinateur et vous pourrez rejoindre la salle d’attente de la conférence en ligne.
    • Une fois accepté(e) dans le salon virtuel par l’administrateur, vous pourrez suivre la conférence en direct.

     

    Vous n’avez pas l’application ZOOM installé sur votre ordinateur/tablette/smartphone :

    Le jour de la conférence :

    • Cliquez sur le lien ZOOM pour suivre la conférence.
    • Votre navigateur Web téléchargera automatiquement l’application gratuite ZOOM. Vous n’avez plus qu’à appuyer sur l’application qui apparait en bas à gauche de votre écran. Cela lance l’installation du programme en quelques secondes.

    • Une fois l’installation terminée, il vous suffit d’appuyer sur « Launch Meeting » (en français : « Lancer la réunion »).

    • Vous rejoindrez ainsi la salle d’attente de la conférence en ligne.
    • Une fois accepté dans le salon virtuel par l’administrateur, vous pourrez suivre la conférence en direct.

     

    Attention :

    Afin de faciliter le déroulement de la conférence et l’intervention des orateurs, nous vous demandons de :

    • Couper votre micro et votre caméra en entrant dans le salon virtuel (lieu où se déroule la conférence en ligne). Si vous avez une difficulté à couper votre micro, l’animateur vous aidera à le faire.

    • Poser vos questions par écrit lors de la session de questions via l’espace de discussion qui s’ouvre en cliquant sur l’onglet « Converser ». Votre question sera lue et relayée par l’animateur vers les orateurs.

     

     Besoin d’un coup de main pour installer ZOOM ? 

    • Voici le lien vers une petite vidéo de démonstration qui vous explique comment installer et utiliser ZOOM en 2 minutes : https://www.youtube.com/watch?v=FczmyqSrN-g
    • Vous souhaitez recevoir une aide supplémentaire : contactez-nous avant la conférence par mail ou par téléphone. Nous vous aiderons à distance (Antoine Blanchard : 0485/81 33 09 – blanchard@mocliege.org ou Nicolas Laermans : 0498/17 18 50 – laermans@mocliege.org).

     

    Au plaisir de se retrouver lors de cette conférence-débat.

    D’ici-là, prenez soin de vous et de votre entourage !

    Nicolas et Antoine

  4. Les associations à Seraing face au COVID-19, témoignage de Vi’a Seraing asbl

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    Elles sont toutes frappées, mais toujours débout !

    Comment la crise sanitaire a-t-elle impacté les associations à Seraing ? Touchées de plein fouet comme nous tous, Vi’a Seraing a lancé un appel à témoignage aux associations. Beaucoup sont débordées parce que tous ces mois passés n’ont pas du tout été de tous repos. Portes fermées, puis à nouveau des portes semi-ouvertes au moment de notre prise de contact. Certaines ont malgré tout pu nous envoyer quelques informations.   Il s’agit toujours de travailleurs de première ligne, qui ont cherché à rester en contact avec leurs publics.

    Les lignes qui vont suivre sont le reflet d’un sondage à la mi-octobre 2020, parfois déjà dépassées par la vigueur de la deuxième vague du COVID. Sans être exhaustives elles reflètent parfaitement le vécu du public et des travailleurs du monde associatif à Seraing pendant et après le déferlement de la première vague.

    L’accueil extra-scolaire

    Deux écoles de devoirs à Seraing pour plus de 70 enfants présents, La Rawette et Graines de génie mais 2 réalités forts proches.

    En ce mois d’octobre, les difficultés rencontrées par les écoles de devoirs dues à cette crise sanitaire, ne font qu’accroitre.

    Les enfants sont revenus après de longs mois d’absence et reprennent tout doucement leurs marques tant au niveau scolaire, qu’au niveau social. Il faut se réhabituer à se lever, à respecter un horaire, à travailler durant de longues heures assis à l’école et puis faire ses devoirs. Reprendre ce rythme prend du temps, mais il faut surtout se remémorer tout ce qui avait été vu avant le mois de mars et avancer … cela fait beaucoup pour des enfants de 6,8 ou 10 ans en un mois.

    Une autre difficulté est en lien direct avec le peu de subventions accordées aux écoles de devoirs. Il s’agit de faire cohabiter un public à bas risque (enfants de moins de 12 ans) avec un public à haut risque qui sont en grande partie les volontaires de plus de 60 ans. Certains sont prudents et sont donc restés chez eux, d’autres sont revenus avec de nombreuses questions et en espérant que tout se passe bien.

    Ce qui a entrainé une diminution des animateurs qui accompagnent les enfants ; nous n’avons pas repris de nouveaux enfants cette année alors que la demande explose (plus de 50 demandes non rencontrées). Nous avons également changé notre fonctionnement pour permettre à chacun d’avoir un accueil de qualité dans le respect des règles imposées par la crise sanitaire : les enfants venaient 4 jours semaine et maintenant, ils ne viennent plus que 2 fois (2 groupes d’enfants à la place d’un). Ce qui entraine un suivi plus difficile des enfants.

    Nous vivons au jour le jour, nous essayons de rester optimistes et de nous dire que chacun dans ces circonstances fait de son mieux, les volontaires pour accompagner les enfants et les enfants pour reprendre une vie « normale » et continuer à progresser.

    Et le Village Liégeois ?

    Tout d’abord une petite mise à niveau pour nos lecteurs qui ne connaissent pas l’association. Il s’agit d’une entreprise de travail adapté dont l’objectif est de permettre à des personnes avec un handicap mental de trouver un travail dans lequel s’épanouir : entretien des parcs et jardins, menuiserie industrielle ou encore conditionnement manuel.

    Les travailleurs interrogent dès le début, sur ce qu’on peut faire ou pas, qui on peut voir ou pas, les déplacements ou pas.Les frustrations par rapport au fait qu’on ne s’embrasse plus, qu’on mange avec distance les uns des autres,… Le village liégeois a la chance d’être une petite structure ce qui permet de communiquer énormément et en permanence entre toutes les personnes, en temps réel : les travailleurs, les moniteurs, les parents et les familles.

    « Au début du confinement, j’ai dû faire faire face à des réactions dans des sens opposés, des moniteurs paniqués, qui sont rentrés chez eux…. D’autres qui minimisaient la situation….bref il a fallu trouver une ligne de conduite au milieu de tout cela ce qui n’a pas été de tout repos » , nous confie Mme Prignon « Cela m’a pris énormément d’énergie de remettre les choses en place, de poser les priorités et de tempérer les comportements exacerbés, et moi-même de rester zen.  Les travailleurs avaient confiance en ce qu’on leur expliquait, et étaient rassurés. Alors que nous, nous étions en questionnement permanent par rapport à cette ambiance anxiogène maintenue par les médias.  J’ai écarté au début également, les personnes à risque ou ceux qui avaient des parents âgés.»

    Encore aujourd’hui, le gel hydro alcoolique est partout, les mesures de distanciation sont respectées dans des bâtiments suffisamment grands. L’acceptation du port du masque n’a pas été trop difficile, c’était plutôt la manière dont il fallait le porter qui était difficile à faire respecter.

    Ce sont les premières mesures dans les transports en commun qui ont été difficiles à supporter par les travailleurs. Ils voyaient passer sous leur nez des bus vides pour eux (contenant 5 personnes), qui ne s’arrêtaient pas à leur arrêt et ils arrivaient en retard, énervés. Malgré le fait qu’on les rassurait par rapport à leur retard, ils étaient vraiment frustrés. Il a fallu du temps pour que cette impression disparaisse.

    Le comportement des clients et des fournisseurs était également très variable, et donc difficile à gérer, l’inattendu était fréquent. Depuis le mois de mars l’asbl n’a fermé qu’une semaine, mais la charge de travail n’était pas du tout remplie, outre le fait que certains clients tournaient au ralenti. En menuiserie plus aucun fournisseur n’était ouvert pendant plusieurs semaines. L’association a donc été contraint de mettre certains travailleurs en chômage économique.

    asbl Vivre Solidaire: et quand il faut à tout prix éviter de couper les vivres ?

    Cette question reflète bien la réalité rencontrée par l‘asbl Vivre Solidaire. Cette association, située à quelques pas de la Maison communale propose un service social, un lieu d’accueil, des colis alimentaires, et bien d’autres services aux ménages en difficulté. Pour assurer ces services, une assistante sociale (dont le salaire est partiellement subventionné), des volontaires et beaucoup de bric et de broc pour financer le tout. Déjà avant l’arrivée du virus, la demande de colis alimentaires est sans cesse croissante et provient en grande partie de personnes orientées par le CPAS.

    Le décor est planté. Que se passe-t-il quand toutes les portes se ferment ? A entendre la responsable du service, ce n’est que le hasard qui a bien pu faire les choses. Les volontaires restent bien légitimement chez eux. La ville se manifeste peu pour venir en aide aux citoyens les plus démunis, et ce sont des travailleurs sociaux du service de prévention de la ville de Seraing partiellement en télé travail qui ont proposés spontanément leur aide pour la distribution des colis. Actuellement cette collaboration continue et est une aide précieuse pour permettre d’assurer les distributions dans les meilleures conditions possibles.

    « Aujourd’hui nous travaillons en équipe restreinte pour continuer d’assurer nos missions et d’apporter notre aide aux personnes demandeuses. » témoigne Lara Vrancken. « Les accompagnements administratifs et les colis alimentaires se font sur rendez-vous afin de limiter les contacts entre les personnes et de respecter les mesures de sécurité. Notre magasin de seconde mains est également ouvert les lundi mardi et jeudi. Nous pouvons y accueillir deux personnes à la fois. Nous regrettons de ne plus pouvoir accueillir les personnes pour prendre un café, se rencontrer, échanger… »

    Une reprise en toute sécurité à Form’Anim

    Pour mener à bien ses objectifs de lutte contre l’exclusion et rencontrer au mieux sa priorité à l’accueil des personnes victimes de l’exil, Form’Anim développe depuis de nombreuses années des activités tant collectives qu’individuelles. À travers toutes celles-ci, une préoccupation constante : la multiculturalité et les défis du vivre‑ensemble harmonieux.

    L’asbl a aussi repris ses activités depuis le mois de septembre en adaptant ses horaires et son fonctionnement en fonction des dispositions règlementaires de protection Covid 19.
    Les ateliers sont organisés de manière régulière (Rue du Papillon, 45 à Seraing) au niveau : du service d’insertion sociale, du pôle Education permanente, de l’apprentissage du français langue étrangère et de l’alphabétisation, ainsi que du projet Viva for life.

    Les permanences sociales et socio-professionnelles se tiennent uniquement sur rendez-vous.

    La crèche « Les P’tits Bouts du Monde » et l’espace rencontre Enfants-Parents « Ani’Mômes » sont également en activités (Rue de la Baume, 239 à Seraing).

    Le « 7e art amateur » a fait son cinéma…

    Les clubs de vidéos réunis au sein de l’Eplicina se réunissent régulièrement pour des concours de vidéos sur un thème propre à chaque club. Malgré le confinement et le COVID, l’association « 7e art amateur » a pu organiser un concours interclub et un concours provincial de vidéos. Quelques séances du club et le repas habituel de l’été ont dû être annulés.

    Pas de repas convivial, perte de visibilité pour le club, nécessité de reconstruire un agenda pour la nouvelle saison, pas de visite du club ami de Troyes (France) comme convenu et évidemment pas de recettes bar.

    La nouvelle saison a repris le 17 septembre avec la majorité des membres, certaines personnes reportent leur présence à une période moins préoccupante.

    Le « gala » provincial prévu et qui avait été annulé a été organisé en septembre avec le respect des règles sanitaires.

    Pour le futur, les préoccupations concernent les possibilités de maintenir les séances hebdomadaires, d’organiser des concours interclubs, d’accueillir de nouveaux membres. Il faut y ajouter la crainte de perdre des membres actuels, ou encore celle d’un désintérêt croissant pour des activités réduites dans les clubs en général.

    Èquipes populaires: « Murs murs », paroles libres et populaires

    Aux Equipes populaires, comme dans beaucoup d’autres lieux, le téléphone a chauffé pendant le confinement ! Il a permis de maintenir le contact avec les membres des groupes locaux et les participants aux activités et de récolter leurs « murs murs », leurs questionnements, leurs coups de gueule, leurs coups de cœur, leurs envies pour l’avenir… Les « murs murs » ont, dans un premier temps, été publié sur la page facebook.

    « Depuis le mois de juin, la reprise de nos activités se fait en douceur, en fonction des lieux disponibles, de la santé des personnes que nous rencontrons. Mais partout nous percevons la volonté des gens de se revoir, de se parler, d’échanger sur ce que nous vivons aujourd’hui. » nous explique Françoise Caudron. « Nous sommes nombreux à nous interroger sur notre avenir, sur l’avenir de nos enfants, l’avenir de notre planète. L’éducation permanente a plus que jamais sa place au sein de nos quartiers. Alors réveillons nous, parlons-nous, échangeons et faisons-nous entendre partout où nous le pouvons. Nous avons notre mot à dire sur le monde que nous souhaitons pour demain. »

    Une piste d’avenir à envisager ?

    Le CIEP de Liège développe notamment une réflexion sur la participation des citoyens à la vie communale de Seraing. Initié il y a plus d’un an, l’objet est clairement de demander à la ville d’ouvrir davantage ses portes à des groupes de travail et à la constitution de commissions consultatives des femmes, des aînés, etc.

    Comme partout, l’association a dû annuler des rencontres et reporter des rendez-vous. Pour l’association, cette pandémie pourrait aussi nous faire réfléchir déjà maintenant aux dégâts indirects, et plus particulièrement aux conséquences de l’isolement et de la perte du lien social. Davantage de participation citoyenne est susceptible d’augmenter le nombre de personnes relais sur un territoire donné, de développer davantage les réseaux interpersonnels et pourquoi pas, de créer des solidarités nouvelles.

    C’est la fin de notre sondage. Pour Vi’A Seraing, c’est aussi le résultat d’une action spontanée qui a débouché sur cet article collectif. L’équipe reste à l’écoute des associations partenaires. Le COVID est encore parmi nous pour plusieurs mois et rien n’empêche de considérer ce retour comme une première chronique. A vos plumes pour partager votre vécu !!!

  5. EXPO | 21/09 | Pourquoi l’immigration ? En 21 questions

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    d’après le livre « Pourquoi l’immigration? 21 questions que se posent les Belges sur les migrations internationales au XXIe siècle » de Jean-Michel LAFLEUR – Directeur adjoint du Centre d’Etudes de l’Ethnicité et des Migrations (CEDEM), Faculté des Sciences Sociales, Université de Liège – et Abdeslam MARFOUK – Attaché scientifique à l’Institut Wallon de l’Evaluation, de la Prospective et de la Statistique (IWEPS), Maître de conférence à la Faculté des Sciences Sociales de l’Université.

    Vous avez envie de voir cette exposition avec nous ? Alors prenez RDV pour une visite guidée par le CRIPEL.

    Quand ?

    Le lundi 21 septembre de 14h à 16h

    Où ?

    Au Cinéma Sauvenière : 14, place Xavier Neujean 4000 Liège

    Comment nous réunir en toute sécurité ?

    Visite gratuite et limitée à 15 personnes – Port du masque

    Inscription obligatoire auprès de :

    Cette exposition est une collaboration du Centre d’Etudes de l’Ethnicité et des Migrations (CEDEM) de l’Université de Liège, des Grignoux et du Centre Régional pour l’Intégration des Personnes Étrangères ou d’origine étrangère de Liège (CRIPEL).

    Envie d’aller plus loin….

    Cette exposition prend place dans un cycle de 6 ateliers sur le legs de mémoire et l’interculturalité. Un legs de mémoire est le fait de partager une tranche de sa vie aux autres. On parle de soi… oui, mais pas n’importe comment. On se raconte sous une forme qui nous plait et nous ressemble !

    À travers ce cycle, les CIEP de Liège et Verviers vous proposent de déterrer vos racines et de raconter comment les vagues migratoires et les luttes sociales belges s’imbriquent les unes dans les autres au cours de votre histoire de vie… Ces ateliers ainsi que la organisation prennent place dans le cadre du congrès fondateur du MOC Liège-Verviers Ils sont proposés de septembre à juin 2020 et seront accompagnés par des experts et des animateurs du CIEP Liège et Verviers.

    Info complémentaire

  6. Conférence historique |18/09| Croisements entre vagues migratoires et luttes sociales hier et aujourd’hui

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    par Florence Loriaux, historienne et maître-assistante Helmo

    En mars derniers, nous vous invitions à venir écouter Florence Loriaux nous parler des connexions entre migration et droits sociaux. Intéressé ? Les CIEP LiègeCIEP VerviersCIEP Culture du MOC de Liège ont une bonne nouvelle pour vous :

    Cette conférence est reprogrammée !!

    « Aussi loin que l’on remonte l’histoire de la Belgique, on constate que les vagues migratoires et les luttes sociales ont toujours été de pair… C’est ensemble que l’on bouge et que l’on construit des droits pour tous. »

    File:1906 - Grève pour les 8 heures.jpg

    Quand ?

    18 septembre 2020 – 2 séances organisées : 1x matin et 1x après-midi

    Où ?

    – De 9h30 à 12h à Renoupré : au CID, rue de Renoupré 60, 4820 Dison
    – De 14h à 16h30 à Sclessin : à Alterform, Rue Gilles Galler 48, 4000 Liège

    Comment nous réunir en toute sécurité ?

    Conférence limitée à 20 personnes pour assurer la distanciation physique
    Port du masque et désinfection des mains à l’entrée de la salle

    Conférence gratuite et ouverte à toutes et tous.

    Inscription obligatoire auprès de :

    Envie d’aller plus loin….

    Cette conférence ouvre un cycle de 6 ateliers sur le legs de mémoire et l’interculturalité. Un legs de mémoire est le fait de partager une tranche de sa vie aux autres. On parle de soi… oui, mais pas n’importe comment. On se raconte sous une forme qui nous plait et nous ressemble !

    À travers ce cycle, les CIEP de Liège et Verviers vous proposent de déterrer vos racines et de raconter comment les vagues migratoires et les luttes sociales belges s’imbriquent les unes dans les autres au cours de votre histoire de vie… Ces ateliers ainsi que la organisation prennent place dans le cadre du congrès fondateur du MOC Liège-Verviers Ils sont proposés de septembre à juin 2020 et seront accompagnés par des experts et des animateurs du CIEP Liège et Verviers.

    Info complémentaire

  7. Liège et Verviers | APPEL à témoins

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    1. Entre vagues migratoires et luttes sociales : l’envie de faire mémoire

    Un legs de mémoire ?

    Un legs de mémoire est le fait de partager une tranche de sa vie aux autres. On parle de soi… oui, mais pas n’importe comment. On se raconte sous une forme qui nous plait et nous ressemble !

    Et comment ?

    6 ateliers collectifs répartis entre septembre et juin 2021 :

    • Pour se rappeler, retrouver des traces, mettre des mots et faire mémoire ensemble.
    • Pour construire son témoignage sous une forme qui nous plait et nous ressemble (audio-vidéo-texte-photos montage et pleins d’autres…)
    • Pour présenter son legs de mémoire au congrès du MOC en 2021
    • Avec le soutien d’experts et de deux animateurs dynamiques du CIEP Liège et Verviers

    Renseignement et inscription :

    2. Une conférence de Florence Loriaux en introduction !

    En mars derniers, nous vous invitions à venir écouter Florence Loriaux nous parler des connexions entre migration et droits sociaux. Intéressé ? Les CIEP Liège et Verviers ont une bonne nouvelle pour vous :

    Cette conférence est reprogrammée !!

    « Les croisements entre vagues migratoires et luttes sociales d’hier et d’aujourd’hui »

    par Florence Loriaux, historienne et maître-assistante Helmo.

    « Aussi loin que l’on remonte l’histoire de la Belgique, on constate que les vagues migratoires et les luttes sociales ont toujours été de pair… C’est ensemble que l’on bouge et que l’on construit des droits pour tous. » 

    Quand ? 18 septembre 2020

    Où ? Deux séances :

    • De 9h30 à 12h à Renoupré : au CID, rue de Renoupré 60, 4820 Dison
    • De 14h à 16h30 à Sclessin : à Alterform, Rue Gilles Galler 48, 4000 Liège

    Inscription obligatoire auprès de :

    Conférence gratuite et ouverte à toutes et tous. Info complémentaire ici.

  8. Le MOC Ainés – Une aide concrète pour les CCCA

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    Vous faites partie du CCCA de votre commune…

    Le MOC Ainés de Liège vous soutient dans votre rôle de représentant de la voix des seniors auprès de vos autorités locales.

    Comment?

    Via des réunions locales à l’attention des représentants et mandataires CCCA d’une même région organisées par une animatrice dynamique du CIEP liège.

    A l’ordre du jour:

    • Un échange d’actualités et de bons plans entre CCCA (par exemple, le projet boites jaunes, VADA et autres ressources « conférence »…)
    • Une réflexion autour de thèmes divers liés au vieillissement (par exemple, la fracture numérique, les moyens de communication aux ainés, le maintien à domicile…)
    • Une interpellation des autorités lorsque cela est pertinent (par exemple, une carte blanche, le relai d’une constatation au gouvernement wallon…)

    Vous faites partie du CCCA de votre commune et participer à de telles réunions d’échanges vous intéresse, rejoignez-nous ! Il y a un groupe local près de chez vous :

    • Groupe local CCCA du secteur de Huy
    • Groupe local CCCA du secteur de la Basse-Meuse
    • Groupe local CCCA du secteur de Seraing
    • Groupe local CCCA de Liège-Ville

    Et s’il n’y a pas de groupe local près de chez vous, ce sera l’occasion d’en créer un avec le soutien de l’animatrice du CIEP Liège.

    Renseignements auprès d’Edwine Goldoni – 0483/22 93 61 – goldoni@mocliege.org

  9. |LLN| 07-02 Journée d’étude du CIEP : Inégalités programmées : Capitalisme, algorithmes et démocratie

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    Les moteurs de recherche, GPS, smartphones etc… que nous utilisons au quotidien fonctionnent grâce
    à des algorithmes. Ces formules mathématiques ne sont pas neutres. Elles génèrent des inégalités et
    posent des questions politiques à propos de la justice sociale, de l’écologie, en passant par les modes
    d’information, de délibération et d’aide à la décision publique ou privée (attribution de prêts bancaires,
    recrutement…).

    Les algorithmes et l’usage économique des données sont autant d’enjeux qui concernent le mouvement
    ouvrier et pas uniquement les passionnés d’informatique.

    Retrouvez le programme complet ici : 07-02 journée d’étude CIEP

    Inscriptions avant le 1er février !

  10. Liège Huy Waremme | Porteur de Paroles : un dispositif haut en couleurs

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    Durant le printemps et l’été 2019 l’équipe d’animation du CIEP de LHW a déployé le dispositif « Porteur de paroles » sur son territoire d’action. Aperçu de quelques-unes de ces actions…

    « Porteur de Paroles », quèsaco ?

    La méthode, créée par l’association française « Matière Prise », vise à réunir des avis de passants sur un thème déterminé préalablement.
    Installée dans un endroit fréquenté, l’équipe met en place des panneaux colorés, attractifs, reprenant la question dont elle souhaite traiter. Les passants sont libres de réagir… ou pas !
    A la fin de la discussion l’animateur synthétise, en collaboration avec le citoyen, les propos de ce dernier pour les afficher.

    Un enjeu : l’espace public !

    A l’origine de ce dispositif un constat : l’espace public n’est plus l’agora d’autrefois. Il n’est plus perçu que comme un lieu de passage ou comme un lieu de consommation. L’enjeu principal est donc de refaire de l’espace public un espace citoyen (et politique), porteur de débats.

    A Huy, la transition écologique au cœur du débat

    Sur le marché de Huy, animateurs et militants étaient réunis autour de la question suivante : « Pour le climat, vous changez quoi ? ».
    A l’heure où les enjeux écologiques se font de plus en plus pressants, le CIEP souhaitait récolter l’avis des Hutois sur l’épineux « à qui la faute ? » : faut-il changer les politiques ? Les comportements individuels ? Ou les deux ?

    Pour Christian et Pascal, 75 et 45 ans « il faut balayer devant sa porte ! Chacun doit faire des petits gestes, il ne faut rien attendre des politiciens ».

    Même son de cloche chez Malou, 66 ans : « Mon fils et ma belle-fille éduquent leurs filles de 8 ans et 14 ans comme cela : boîtes à tartines, gobelets réutilisables… C’est bien, c’est un bon bagage pour l’avenir ! Moi quand je fais mes courses, j’achète bio et j’utilise des sacs réutilisables. Les petits gestes du quotidien sont importants. »

    Pour Jacqueline, 65 ans, le constat est un peu différent : « Des gestes au quotidien, ok, mais ça doit bouger aussi au niveau de l’Union Européenne et des grosses entreprises. »

    Pour Chantal, plus le temps discuter, « il faut ouvrir les yeux !! Les gens doivent se révolter ! On va droit à la catastrophe. »

    Les discussions animées se sont poursuivies jusque 13h00 sans arriver au consensus…

    Et vous, pour le climat, vous changez quoi ?

    Vous habitez la région de Huy ? Vous êtes intéressé.e par nos actions ? Simplement curieux.se ? Contactez Jonas Jobé, animateur en charge du secteur : jobe@mocliege.org ou 0498/17.18.51

    A Ans, focus sur la mobilité, les soins de santé et les femmes dans l’espace public

    C’est en partenariat avec l’asbl féministe Vie Féminine Ans ainsi que la Mutualité Chrétienne que l’équipe du CIEP a déployé son dispositif durant le festival ‘Mai en Couleurs

    Être femme dans l’espace public

    Depuis un an, Vie Féminine fait campagne autour de la conquête de l’espace public par les femmes. L’outil Porteur de Paroles était de ce fait particulièrement approprié pour recueillir l’avis des passantes sur le sujet…

    A la question « En tant que femme dans l’espace public je me sens… » les réactions furent variées.

    Toutes ne se sentent pas mal à l’aise dans la rue, à l’image de Fatma, 18 ans, qui se sent « libre et respectée dans l’espace public » ainsi que de Pauline, « femme active » n’ayant « pas de problème dans l’espace public ». Elle regrette cependant l’absence de toilettes…

    Pour Nicole, 53 ans, se déplacer dans la rue n’est pas si simple : « Je ne sors plus le soir en rue car je ne me sens pas en sécurité » explique-t-elle à l’une des animatrices. Muriel, 47 ans, souhaiterait quant-à-elle pouvoir s’habiller comme elle l’entend, « sans entendre siffler quand [elle] passe. »

    Une réflexion corroborée par Fabienne, 48 ans, pour qui « le regard des hommes est encore trop macho ».

    Se déplacer à Ans

    Ans est connue pour sa politique du « tout à la voiture ». C’est naturellement autour de la mobilité douce que l’équipe du CIEP a souhaité orienter le débat.

    A la question « A pieds, à vélo ou en voiture : se déplacer à Ans c’est… » les réponses furent unanimes.
    Pour Rosette, 73 ans, il est tout bonnement « impossible de circuler à Ans [car] les voitures prennent trop de place ! »
    Pour Josianne 69 ans, les trottoirs sont difficiles : mal entretenus, absents, trop pentus ou encombrés de voitures.
    Bouchra, 39 ans, regrette quant à elle le peu de bus en service le week-end.

    L’accessibilité financière des soins de santé

    Également présente à Ans, la Mutualité Chrétienne a souhaité interroger sur l’accessibilité financière des soins de santé, cœur de son action politique.

    Pour Jean, 75 ans, la situation est problématique : « Ce n’est pas normal que les médecins prennent autant de suppléments en chambre seule. Pas confiance aux partis politiques. A quoi ça sert d’aller voter ? Les mutuelles sortent 3 jours avant les élections ? Pourquoi pas avant ? On ne nous écoute pas au gouvernement. »

    Marie, 71 ans, voit la situation du même œil : « Pour la santé : changer de ministre ! Ceux qui font les lois les font pour les gros salaires ! »

    La perte de confiance en l’institution politique est un thème récurrent des actions Porteur de Paroles; le CIEP n’a pas manqué de le constater.

    L’équipe présente à Ans souhaite cependant utiliser la parole citoyenne recueillie pour entamer un dialogue avec les autorités communales. Une affaire à suivre…

    Vous habitez Ans & alentours ? Vous êtes intéressé.e par nos actions ? Simplement curieux.se ? Contactez Nicolas Laermans, animateur en charge du secteur : laermans@mocliege.org ou 0498/17.18.50

    A Waremme, l’entraide au cœur des préoccupations des bénévoles de Vie Féminine

    Début mai, l’équipe du CIEP s’est également rendue sur le marché en partenariat avec Vie Féminine Waremme. En concertation avec les bénévoles de l’asbl, la thématique choisie était celle de l’entraide, une valeur qui a leurs yeux, se perd.

    Pour les passants interrogés ce jour-là, « en 2019 l’entraide, à Waremme, c’est… » : « combattre l’isolement et accompagner les familles monoparentales » selon Stéphanie, 41 ans.

    Anne, 50 ans, a souhaité souligner que lorsque l’économie va mal, lorsqu’on a pas d’argent, on ne pense qu’à soi. C’est aussi l’avis de Kim, 63 ans qui enchéri : « Si on n’est pas bien en nous-même, on aura du mal à aider. »

    Plusieurs personnes âgées ont quant à elles émis des regrets face « aux temps d’avant », comme Muriel se souvenant de vacances chez sa grand-mère : « (…) on sortait les chaises, on discutait, on mangeait avec les voisins. Maintenant on ne voit plus ça ! On donnait de bon cœur… on a perdu tout ça ».

    Heureusement, d’autres avis sont venus contrebalancer ses opinions négatives, comme celui de Loïc, 21 ans : « Je suis dans l’entraide. Quand je peux aider, je le fais ! J’ai un comité de quartier avec lequel on distribue des roses aux personnes âgées et seules lors du nouvel an ainsi que des bouteilles d’eau en été. Et quand je peux aider d’autre asbl waremmiennes, je le fais ! »

    Vous habitez Waremme & alentours ? Vous êtes intéressé.e par nos actions ? Simplement curieux.se ? Contactez Florence Lizin, animatrice en charge du secteur : lizin@mocliege.org ou 0485/81.33.04

    A Seraing, le « mieux vivre ensemble » au cœur des préoccupations

    De quoi les Serésiens ont-ils besoin pour se sentir bien dans leur quartier ? Telle est la question qui fut posée pendant les vacances d’été au marché hebdomadaire du vendredi.

    Des discussions, plusieurs grands thèmes émergent : la qualité des relations, des espaces publics et l’importance d’agir.

    En effet pour Rahwa, 34 ans, l’amélioration du bien-être dans son quartier passerait par « plus de communication et d’échanges entre voisins, amis et familles ».

    Même son de cloche chez Nelly, 68 ans, qui aimerait « des lieux publics propres qui soient un prétexte à la rencontre entre voisins pour cultiver une vie de ruelle ».

    Françoise, 70 ans, souhaite pour sa part des « fêtes et des rencontres de quartier pour le 21 juillet, le 15 août, la rentrée (…) ».

    Jean-Louis, 87 ans, rêverait quant à lui « d’un grand espace organisé par un animateur, que les gens pourront utiliser en fonction de leurs besoins (…) ».

    Les actions ‘Porteur de Paroles’ continuent sur le territoire d’action du CIEP LHW. Les prochains rendez-vous sont :

    • Le 12 septembre sur le marché d’Herstal – Infos auprès d’Edwine Goldoni : 0483/22.93.61 ou goldoni@mocliege.org
    • Le 13 septembre et le 11 octobre sur le marché de Waremme – Infos auprès de Florence Lizin : 0485/81.33.04 ou lizin@mocliege.org
    • Les 14 et le 28 septembre sur le marché de Seraing – Infos auprès d’Edwine Goldoni : 0483/22.93.61 ou goldoni@mocliege.org
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