Rencontre avec Antoine BLANCHARD (du CIEP) et Mathieu DALMAIS (Ingénieurs sans Frontières France)
Présentation du projet de sécurité sociale de l’alimentation et échanges-discussion.
Le CIEP, en partenariat avec Vivre Ensemble, vous propose de découvrir le projet de sécurité sociale de l’alimentation : Pour qui ? Pourquoi ? Comment ?
Témoignage de l’expérience de Mathieu Dalmais et le point sur la situation en France : quelles différences et quelles similitudes avec la Belgique, comment et pourquoi s’en inspirer ?
Le MOC Liège-Verviers soutient la mobilisation des femmes de Vie Féminine et des femmes de la CSC dans le cadre la journée internationale des droits des femmes et relaie le préavis de grève de la CNE pour les travailleuses et travailleurs du secteur socioculturel qui souhaitent les soutenir.
Retrouvez toutes les infos sur leurs actions ainsi que leurs invitations à rejoindre la cyclo parade du 8 mars à Liège ci-dessous.
1. Participez à l’action « galerie de portrait » de VieFeminine sur facebook
Comment faire ?
Prenez-vous en photo avec une revendication par rapport au droit des femmes et envoyez-la à une animatrice VF par Messenger ou par email à liege@viefeminine.be. Vous avez besoin d’un coup de main, l’animatrice VF de votre région est disponible pour vous aider.
Les femmes CSC lancent leur campagne « L’égalité n’est pas un jeu de hasard » afin de sensibiliser à l’impact des choix de carrière sur l’autonomie économique et financière des travailleuses.
3. Participez à la CycloParade de Liège ce 8 mars avec VF et les femmes de la CSC
VF et les femmes de la CSC vous invitent également à participer à la CycloParade Féministe du 8 mars à Liège (dans le respect des mesures sanitaires). Toutes les info sur la CycloParade de Liège ici
Vous souhaitez rejoindre un groupe de femmes de VF, RDV entre 12h et 18h place Tivoli. N’hésitez pas à prévenir votre animatrice de terrain de votre présence Vie Féminine (viefeminine.be) ou la régionale de VF : liege@viefeminine.be.
La CNE prend part à cette dynamique et a déposé un préavis de grève pour que les travailleuses (et les travailleurs qui souhaitent les soutenir*) puissent rejoindre les actions organisées ce jour-là dans tout le pays dans le cadre de la campagne des femmes CSC et de l’appel à la grève du collecti.e.f 8 maars. Vous avez donc toutes le droit de faire grève ce jour-là. N’hésitez pas à nous le faire savoir, on peut rentrer vos demandes d’indemnités de grève pour la journée du 8 mars!
A voir aussi : Information générale sur l’appel à la grève du collecti.e.f 8 maars
Vous êtes curieux de savoir si des activités se passent encore pour les ainés ?
Venez nous rejoindre aux réunions mensuelles de la Commission 3ème âge du MOC tous les 2ème lundis du mois.
Elle rassemble les militants des groupes « ainés » du réseau MOC liégeois, comme les CSC Seniors, Enéo et Altéo, les Equipe Populaires et Vie Féminine.
Elle poursuit deux objectifs principaux :
L’échanges de bonnes pratiques et la formation en matière de participation citoyenne des ainés (ex. les CCCA).
L’information et la réflexion sur des thèmes divers liés au vieillissement avec un regard à 360° : travail/syndicat, santé/mutualité, lutte contre les inégalité et l’isolement social/monde associatif.
Quand cela est pertinent, elle interpelle également les autorités politiques.
Vous avez des choses à dire concernant les ainés et leurs militances…
Nos réunions sont ouvertes à toutes et tous (quelque que soit votre affiliation) chaque 2ème lundis du mois.
Cet été, les CIEP Liège et Verviers vous invitaient à un projet « haut en couleur », celui de faire mémoire du passé…
Oui, mais pas n’importe comment ni sur n’importe quel sujet : se souvenir de son histoire avec ses tripes, son corps et son cœur sur le thème des immigrations et leurs implications dans les luttes sociales d’hier et d’aujourd’hui.
Retrouvez l’article qui présente notre projet dans l’Esperluette n°105 du CIEP communautaire (p. 16 et 17).
Une bombe à retardement qu’il est possible de désamorcer !
« C’est peu dire que la crise sanitaire et le confinement ont projeté́ une lumière crue sur les inégalités sociales et les souffrances au quotidien d’une partie de la population. Alors qu’il fallait rester chez soi, il a bien fallu songer – un peu – à celles et ceux privé.e.s de toit ou en passe de le perdre ».
Le MOC soutient l’initiative du Rassemblement Wallon pour le Droit à l’Habitat et co-signe son communiqué commun.
Découvrez la brochure des CSC Seniors « Le chemin de notre santé » en ligne – ICI.
« Cette année 2020 a été surprenante, difficile et longue pour beaucoup d’entre nous. L’épidémie de Covid-19 nous pousse chaque jour à nous ré-inventer et à voir les choses différemment. Pour les seniors, c’est une période particulièrement éprouvante. »
Suite à l’annulation de l’Université de Printemps des FEC seniors en 2020 pour cause de Covid-19, les membres du Groupe de Travail Unifor vous livre cette brochure qui est le fruit de témoignages d’ainés et de réflexions sur le thème de « la santé des Seniors ».
Découvrez cette brochure des CSC Seniors « Le chemin de notre santé » en ligne – ICI. Bonne lecture!
Le CIEP vous invite à une rencontre avec Quentin Detienne (ULiège) et Philippe Deceukelier (Senior CSC) pour comprendre les enjeux des dernières réformes du système de pension de retraite en Belgique.
Nous reviendrons rapidement sur les bases du système de pension en Belgique afin de mieux comprendre son fonctionnement, en prenant en compte ses dernières évolutions.
Nous envisagerons ensuite l’avenir de notre système de pension à moyen terme, avec 2030 dans le viseur.
Par ailleurs, nous évoquerons les luttes politiques et syndicales nécessaires au passage de la pension à 1450 euro net.
Enfin, nous échangerons avec les interlocuteurs/trices sur le vécu des uns et des autres pour mieux se représenter la vie d’un ou d’une retraité(e) en 2020. Cet échange aura pour vocation de dresser l’inventaire des combats à mener pour une pension plus juste et solidaire.
C’est très simple et gratuit pour vous. Vous pouvez la suivre depuis chez vous en vous connectant avec votre ordinateur, votre tablette ou votre smartphone sur l’application ZOOM qui se trouve sur internet.
Vous avez déjà l’application ZOOM installé sur votre ordinateur/tablette/smartphone :
Le jour de la conférence :
Cliquez sur le lien ZOOM pour suivre la conférence.
L’application ZOOM se lancera automatiquement sur votre ordinateur et vous pourrez rejoindre la salle d’attente de la conférence en ligne.
Une fois accepté(e) dans le salon virtuel par l’administrateur, vous pourrez suivre la conférence en direct.
Vous n’avez pas l’application ZOOM installé sur votre ordinateur/tablette/smartphone :
Le jour de la conférence :
Cliquez sur le lien ZOOM pour suivre la conférence.
Votre navigateur Web téléchargera automatiquement l’application gratuite ZOOM. Vous n’avez plus qu’à appuyer sur l’application qui apparait en bas à gauche de votre écran. Cela lance l’installation du programme en quelques secondes.
Une fois l’installation terminée, il vous suffit d’appuyer sur « Launch Meeting » (en français : « Lancer la réunion »).
Vous rejoindrez ainsi la salle d’attente de la conférence en ligne.
Une fois accepté dans le salon virtuel par l’administrateur, vous pourrez suivre la conférence en direct.
Attention :
Afin de faciliter le déroulement de la conférence et l’intervention des orateurs, nous vous demandons de :
Couper votre micro et votre caméra en entrant dans le salon virtuel (lieu où se déroule la conférence en ligne). Si vous avez une difficulté à couper votre micro, l’animateur vous aidera à le faire.
Poser vos questions par écrit lors de la session de questions via l’espace de discussion qui s’ouvre en cliquant sur l’onglet « Converser ». Votre question sera lue et relayée par l’animateur vers les orateurs.
Vous souhaitez recevoir une aide supplémentaire : contactez-nous avant la conférence par mail ou par téléphone. Nous vous aiderons à distance (Antoine Blanchard : 0485/81 33 09 – blanchard@mocliege.org ou Nicolas Laermans : 0498/17 18 50 – laermans@mocliege.org).
Au plaisir de se retrouver lors de cette conférence-débat.
D’ici-là, prenez soin de vous et de votre entourage !
Elles sont toutes frappées, mais toujours débout !
Comment la crise sanitaire a-t-elle impacté les associations à Seraing ? Touchées de plein fouet comme nous tous, Vi’a Seraing a lancé un appel à témoignage aux associations. Beaucoup sont débordées parce que tous ces mois passés n’ont pas du tout été de tous repos. Portes fermées, puis à nouveau des portes semi-ouvertes au moment de notre prise de contact. Certaines ont malgré tout pu nous envoyer quelques informations. Il s’agit toujours de travailleurs de première ligne, qui ont cherché à rester en contact avec leurs publics.
Les lignes qui vont suivre sont le reflet d’un sondage à la mi-octobre 2020, parfois déjà dépassées par la vigueur de la deuxième vague du COVID. Sans être exhaustives elles reflètent parfaitement le vécu du public et des travailleurs du monde associatif à Seraing pendant et après le déferlement de la première vague.
L’accueil extra-scolaire
Deux écoles de devoirs à Seraing pour plus de 70 enfants présents, La Rawette et Graines de génie mais 2 réalités forts proches.
En ce mois d’octobre, les difficultés rencontrées par les écoles de devoirs dues à cette crise sanitaire, ne font qu’accroitre.
Les enfants sont revenus après de longs mois d’absence et reprennent tout doucement leurs marques tant au niveau scolaire, qu’au niveau social. Il faut se réhabituer à se lever, à respecter un horaire, à travailler durant de longues heures assis à l’école et puis faire ses devoirs. Reprendre ce rythme prend du temps, mais il faut surtout se remémorer tout ce qui avait été vu avant le mois de mars et avancer … cela fait beaucoup pour des enfants de 6,8 ou 10 ans en un mois.
Une autre difficulté est en lien direct avec le peu de subventions accordées aux écoles de devoirs. Il s’agit de faire cohabiter un public à bas risque (enfants de moins de 12 ans) avec un public à haut risque qui sont en grande partie les volontaires de plus de 60 ans. Certains sont prudents et sont donc restés chez eux, d’autres sont revenus avec de nombreuses questions et en espérant que tout se passe bien.
Ce qui a entrainé une diminution des animateurs qui accompagnent les enfants ; nous n’avons pas repris de nouveaux enfants cette année alors que la demande explose (plus de 50 demandes non rencontrées). Nous avons également changé notre fonctionnement pour permettre à chacun d’avoir un accueil de qualité dans le respect des règles imposées par la crise sanitaire : les enfants venaient 4 jours semaine et maintenant, ils ne viennent plus que 2 fois (2 groupes d’enfants à la place d’un). Ce qui entraine un suivi plus difficile des enfants.
Nous vivons au jour le jour, nous essayons de rester optimistes et de nous dire que chacun dans ces circonstances fait de son mieux, les volontaires pour accompagner les enfants et les enfants pour reprendre une vie « normale » et continuer à progresser.
Et le Village Liégeois ?
Tout d’abord une petite mise à niveau pour nos lecteurs qui ne connaissent pas l’association. Il s’agit d’une entreprise de travail adapté dont l’objectif est de permettre à des personnes avec un handicap mental de trouver un travail dans lequel s’épanouir : entretien des parcs et jardins, menuiserie industrielle ou encore conditionnement manuel.
Les travailleurs interrogent dès le début, sur ce qu’on peut faire ou pas, qui on peut voir ou pas, les déplacements ou pas.Les frustrations par rapport au fait qu’on ne s’embrasse plus, qu’on mange avec distance les uns des autres,… Le village liégeois a la chance d’être une petite structure ce qui permet de communiquer énormément et en permanence entre toutes les personnes, en temps réel : les travailleurs, les moniteurs, les parents et les familles.
« Au début du confinement, j’ai dû faire faire face à des réactions dans des sens opposés, des moniteurs paniqués, qui sont rentrés chez eux…. D’autres qui minimisaient la situation….bref il a fallu trouver une ligne de conduite au milieu de tout cela ce qui n’a pas été de tout repos » , nous confie Mme Prignon « Cela m’a pris énormément d’énergie de remettre les choses en place, de poser les priorités et de tempérer les comportements exacerbés, et moi-même de rester zen. Les travailleurs avaient confiance en ce qu’on leur expliquait, et étaient rassurés. Alors que nous, nous étions en questionnement permanent par rapport à cette ambiance anxiogène maintenue par les médias. J’ai écarté au début également, les personnes à risque ou ceux qui avaient des parents âgés.»
Encore aujourd’hui, le gel hydro alcoolique est partout, les mesures de distanciation sont respectées dans des bâtiments suffisamment grands. L’acceptation du port du masque n’a pas été trop difficile, c’était plutôt la manière dont il fallait le porter qui était difficile à faire respecter.
Ce sont les premières mesures dans les transports en commun qui ont été difficiles à supporter par les travailleurs. Ils voyaient passer sous leur nez des bus vides pour eux (contenant 5 personnes), qui ne s’arrêtaient pas à leur arrêt et ils arrivaient en retard, énervés. Malgré le fait qu’on les rassurait par rapport à leur retard, ils étaient vraiment frustrés. Il a fallu du temps pour que cette impression disparaisse.
Le comportement des clients et des fournisseurs était également très variable, et donc difficile à gérer, l’inattendu était fréquent. Depuis le mois de mars l’asbl n’a fermé qu’une semaine, mais la charge de travail n’était pas du tout remplie, outre le fait que certains clients tournaient au ralenti. En menuiserie plus aucun fournisseur n’était ouvert pendant plusieurs semaines. L’association a donc été contraint de mettre certains travailleurs en chômage économique.
asbl Vivre Solidaire: et quand il faut à tout prix éviter de couper les vivres ?
Cette question reflète bien la réalité rencontrée par l‘asbl Vivre Solidaire. Cette association, située à quelques pas de la Maison communale propose un service social, un lieu d’accueil, des colis alimentaires, et bien d’autres services aux ménages en difficulté. Pour assurer ces services, une assistante sociale (dont le salaire est partiellement subventionné), des volontaires et beaucoup de bric et de broc pour financer le tout. Déjà avant l’arrivée du virus, la demande de colis alimentaires est sans cesse croissante et provient en grande partie de personnes orientées par le CPAS.
Le décor est planté. Que se passe-t-il quand toutes les portes se ferment ? A entendre la responsable du service, ce n’est que le hasard qui a bien pu faire les choses. Les volontaires restent bien légitimement chez eux. La ville se manifeste peu pour venir en aide aux citoyens les plus démunis, et ce sont des travailleurs sociaux du service de prévention de la ville de Seraing partiellement en télé travail qui ont proposés spontanément leur aide pour la distribution des colis. Actuellement cette collaboration continue et est une aide précieuse pour permettre d’assurer les distributions dans les meilleures conditions possibles.
« Aujourd’hui nous travaillons en équipe restreinte pour continuer d’assurer nos missions et d’apporter notre aide aux personnes demandeuses. » témoigne Lara Vrancken. « Les accompagnements administratifs et les colis alimentaires se font sur rendez-vous afin de limiter les contacts entre les personnes et de respecter les mesures de sécurité.Notre magasin de seconde mains est également ouvert les lundi mardi et jeudi. Nous pouvons y accueillir deux personnes à la fois. Nous regrettons de ne plus pouvoir accueillir les personnes pour prendre un café, se rencontrer, échanger… »
Pour mener à bien ses objectifs de lutte contre l’exclusion et rencontrer au mieux sa priorité à l’accueil des personnes victimes de l’exil, Form’Anim développe depuis de nombreuses années des activités tant collectives qu’individuelles. À travers toutes celles-ci, une préoccupation constante : la multiculturalité et les défis du vivre‑ensemble harmonieux.
L’asbl a aussi repris ses activités depuis le mois de septembre en adaptant ses horaires et son fonctionnement en fonction des dispositions règlementaires de protection Covid 19.
Les ateliers sont organisés de manière régulière (Rue du Papillon, 45 à Seraing) au niveau : du service d’insertion sociale, du pôle Education permanente, de l’apprentissage du français langue étrangère et de l’alphabétisation, ainsi que du projet Viva for life.
Les permanences sociales et socio-professionnelles se tiennent uniquement sur rendez-vous.
La crèche « Les P’tits Bouts du Monde » et l’espace rencontre Enfants-Parents « Ani’Mômes » sont également en activités (Rue de la Baume, 239 à Seraing).
Le « 7e art amateur » a fait son cinéma…
Les clubs de vidéos réunis au sein de l’Eplicina se réunissent régulièrement pour des concours de vidéos sur un thème propre à chaque club. Malgré le confinement et le COVID, l’association « 7e art amateur » a pu organiser un concours interclub et un concours provincial de vidéos. Quelques séances du club et le repas habituel de l’été ont dû être annulés.
Pas de repas convivial, perte de visibilité pour le club, nécessité de reconstruire un agenda pour la nouvelle saison, pas de visite du club ami de Troyes (France) comme convenu et évidemment pas de recettes bar.
La nouvelle saison a repris le 17 septembre avec la majorité des membres, certaines personnes reportent leur présence à une période moins préoccupante.
Le « gala » provincial prévu et qui avait été annulé a été organisé en septembre avec le respect des règles sanitaires.
Pour le futur, les préoccupations concernent les possibilités de maintenir les séances hebdomadaires, d’organiser des concours interclubs, d’accueillir de nouveaux membres. Il faut y ajouter la crainte de perdre des membres actuels, ou encore celle d’un désintérêt croissant pour des activités réduites dans les clubs en général.
Aux Equipes populaires, comme dans beaucoup d’autres lieux, le téléphone a chauffé pendant le confinement ! Il a permis de maintenir le contact avec les membres des groupes locaux et les participants aux activités et de récolter leurs « murs murs », leurs questionnements, leurs coups de gueule, leurs coups de cœur, leurs envies pour l’avenir… Les « murs murs » ont, dans un premier temps, été publié sur la page facebook.
« Depuis le mois de juin, la reprise de nos activités se fait en douceur, en fonction des lieux disponibles, de la santé des personnes que nous rencontrons. Mais partout nous percevons la volonté des gens de se revoir, de se parler, d’échanger sur ce que nous vivons aujourd’hui. » nous explique Françoise Caudron. « Nous sommes nombreux à nous interroger sur notre avenir, sur l’avenir de nos enfants, l’avenir de notre planète. L’éducation permanente a plus que jamais sa place au sein de nos quartiers. Alors réveillons nous, parlons-nous, échangeons et faisons-nous entendre partout où nous le pouvons. Nous avons notre mot à dire sur le monde que nous souhaitons pour demain. »
Une piste d’avenir à envisager ?
Le CIEP de Liège développe notamment une réflexion sur la participation des citoyens à la vie communale de Seraing. Initié il y a plus d’un an, l’objet est clairement de demander à la ville d’ouvrir davantage ses portes à des groupes de travail et à la constitution de commissions consultatives des femmes, des aînés, etc.
Comme partout, l’association a dû annuler des rencontres et reporter des rendez-vous. Pour l’association, cette pandémie pourrait aussi nous faire réfléchir déjà maintenant aux dégâts indirects, et plus particulièrement aux conséquences de l’isolement et de la perte du lien social. Davantage de participation citoyenne est susceptible d’augmenter le nombre de personnes relais sur un territoire donné, de développer davantage les réseaux interpersonnels et pourquoi pas, de créer des solidarités nouvelles.
C’est la fin de notre sondage. Pour Vi’A Seraing, c’est aussi le résultat d’une action spontanée qui a débouché sur cet article collectif. L’équipe reste à l’écoute des associations partenaires. Le COVID est encore parmi nous pour plusieurs mois et rien n’empêche de considérer ce retour comme une première chronique. A vos plumes pour partager votre vécu !!!
d’après le livre « Pourquoi l’immigration? 21 questions que se posent les Belges sur les migrations internationales au XXIe siècle » de Jean-Michel LAFLEUR – Directeur adjoint du Centre d’Etudes de l’Ethnicité et des Migrations (CEDEM), Faculté des Sciences Sociales, Université de Liège – et Abdeslam MARFOUK – Attaché scientifique à l’Institut Wallon de l’Evaluation, de la Prospective et de la Statistique (IWEPS), Maître de conférence à la Faculté des Sciences Sociales de l’Université.
Vous avez envie de voir cette exposition avec nous ? Alors prenez RDV pour une visite guidée par le CRIPEL.
Quand ?
Le lundi 21 septembre de 14h à 16h
Où ?
Au Cinéma Sauvenière : 14, place Xavier Neujean 4000 Liège
Comment nous réunir en toute sécurité ?
Visite gratuite et limitée à 15 personnes – Port du masque
Cette exposition est une collaboration du Centre d’Etudes de l’Ethnicité et des Migrations (CEDEM) de l’Université de Liège, des Grignoux et du Centre Régional pour l’Intégration des Personnes Étrangères ou d’origine étrangère de Liège (CRIPEL).
Envie d’aller plus loin….
Cette exposition prend place dans un cycle de 6 ateliers sur le legs de mémoire et l’interculturalité. Un legs de mémoire est le fait de partager une tranche de sa vie aux autres. On parle de soi… oui, mais pas n’importe comment. On se raconte sous une forme qui nous plait et nous ressemble !
À travers ce cycle, les CIEP de Liège et Verviers vous proposent de déterrer vos racines et de raconter comment les vagues migratoires et les luttes sociales belges s’imbriquent les unes dans les autres au cours de votre histoire de vie… Ces ateliers ainsi que la organisation prennent place dans le cadre du congrès fondateur du MOC Liège-Verviers Ils sont proposés de septembre à juin 2020 et seront accompagnés par des experts et des animateurs du CIEP Liège et Verviers.